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René
LE GRAET, un "Maçon" callacois.
L'équerre
et le compas[1]
René
Le Graet,
fils de Guillaume et de Marie Le Gac, naît à Kermabilou en
Botmel le 14avril 1748 et il a pour parrain et marraine :Yves Le
Coz et Jane André.
Il quitte Callac à une date inconnue et se retrouve employé du Roy,
puis
Directeur de la boulangerie à Basse Terre, Guadeloupe.
C'est l'époque où les loges maçonniques avaient la faveur
des hommes d'avenir ; elles furent l'ossature des clubs
révolutionnaires qui ont forcé la main aux assemblées
élues et ont mené la France à la République. La
Déclaration des Droits de l'Homme était d'inspiration
maçonnique. Citons quelques "maçons" célèbres
: le Duc d'Orléans, La Fayette, son principal lieutenant,
Marat, Talleyrand, Condorcet, Sieyès, Desmoulins, Danton,
Hébert...
Dans la région de Guingamp et Callac, les familles Vistorte
et Desjars étaient connues comme maçons de la loge de
Guingamp.
René
Le Graët devient maçon
à la loge "St Jean d'Ecosse"[2] entre 1781et
1785.
Notes.
[1] L'équerre et le
compas
Symbole
de la Justice, l'équerre qui évoque la matière et
la Terre, représente la rectitude dans l'action. Le
compas, symbole de l'Esprit et du Ciel, figure la
mesure et la recherche de la Vérité. Plutôt
affectés au grade de maître, ces deux outils réunis,
règlent l'existence et les actions de l'individu.
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[2]Loges maçonniques: http://www.loges-maconniques.ch/liens.html
http://chansmac.ifrance.com/chansmac/docs/loges/contratsocial.html
Voir
" Francs-Maçons des Loges françaises aux Amériques".
D'Ellizabeth ESCALE et Mariel GOUYON- GUILLAUME.
J.Lohou( août
2002)